Je me souvient parfaitement de ce son. Ce bruit qui vous résonne dans les tympans, une respiration haletante trottant dans votre cou. Des lèvres parcouraient mon cou, à la recherche d’un liquide appelé «Sang». Soudainement, je sentit le contact de crocs froids sur ma gorge, ils appuyaient de plus en plus… Je fermait les yeux, sûrement par peur. Ma peau se tendait de plus en plus, sous la pression. Jusqu'à ce que celle-ci craque. Je soupira et sentait ma peau se détendre, et le sang coulé. Il aspirait ce liquide chaud bouillant, aux couleurs pourpres. Mes mains étrennaient son dos, et mes ongles se plantaient dans la peau de mon hôte. Quand il eu finit son affaire, il se retira doucement de mon étreinte, et de mon cou. Me regardant, ne disant pas un mot. Il mena sa main à ma joue, et la caressa tendrement. Je lui souris… Même si je n’avais presque plus la force.
Il enleva sa chemise, et la jeta au sol et ouvrit la braguette de son pantalon. Il me souria, parcourant mon torse avec sa langue, pour parvenir jusqu'à ma bouche. Là où il demanda l’entrée à l’aide de sa langue. Je ne lui refusait pas, et il mêla sa salive ensanglantée à la mienne… Ce goût me donna des frissons. Ca me rappela que je jouait avec la mort, que j’était en Amour avec un Vampire… Avec un être incontrôlable, et imprévisible. Je ne suis qu’Humain, mais ma peur pour ces individus me fit tomber amoureux de l’un d’entres eux. Il m’embrassa une dernière fois, et s’en alla du lit. Il saissisa une fiole, qui était sur la table basse, et revenait vers moi. Je le regarda, l’air interrogatif… En me demandant ce qu’il y avait a l’intérieur du flacon. Il me dit simplement que c’était une substance, une huile.
J’hésitait à lui demander ce que c’était plus précisément, mais ma confiance m’emporta et je ne dit rien… Decay ouvrit la fiole, mit son doigt dedans et le ressortit. Son index était recouvert d’un fluide visqueux et transparent. Son autre main me fit un choc a l’épaule, pour me plaquer contre le mur. Je laissa échapper un soupir de douleur, et le regardait avec des yeux de chiens battus. Il m’adressa un sourire pervers, et remonta sa main, jusqu'à ma mâchoire. Il appuya légèrement pour que je l’ouvre, et glissa son doigt humidifié de ce produit.
« Alors… ? » Me questionna-t-il.
Je sentait une chaleur progressive, dans mon corps. Ma respiration s’accélérait. Mon cœur battait de plus en plus fort… Je regardait Decay avec le même regard, il me souria d’un air coquin. Il me demanda pourquoi j’avait un visage pareil. Assez mécontent, il m’allongea violemment sur le lit, en m’enlevant le seul tissus qu’il me restait : mon boxer. Son doigt vint se remettre dans le liquide gluant, et il le dirigea vers mon fessier.
« Att- » M’exclamait-je.
Avant d’avoir pu finir mon mot, que son doigt se baladait déjà dans mes entrailles, il remuait. Gémissant de plaisir je lui disait d’arrêter… Bien sur Decay n’écoutait rien et continuait à déplacer son doigt en moi. Puis deux doigts. Je souffrait de plaisir, à quoi bon, peut-être était-je Masochiste ? Je fermait mes yeux, sentant la satisfaction montée en moi. Il enleva ses doigts, et les remplaça par sa langue, qui humidifiait encore plus la situation… Une de ses mains caressait mon torse, elle remontait et deux de ses doigts pénétraient dans ma bouche, ma salive se mélangeait à eux, Decay souriait de bonheur, de me voir soumis d’une telle sorte.
Sa main masturbait son sexe déjà dressé de plaisir, quant au mien, il n’allait pas tarder à libéré ce liquide blanc… Il me souria et se redressa, mit mes hanches à la hauteur des siennes et caressa mon entre jambe.
« Decay ! Prend moi… J’en peut plus… » Reclamait-je.
« Quel impatience… » Dit-il en se léchant les lèvres.
Il caressa mes cotes, pour enfin saisir mes hanches et approché ma cavité, à son pénis. Il les fit se rencontrer, et mit un peu plus de pression. Je criait de plaisir… Il commença à entamer de longs vas et viens. Ma colonne vertébrale se cambrait de plus en plus, et la chaleur m’envahissait à chaque seconde. J’halletait et avait du mal à respirer, mais j’aimait vraiment ce moment de pur bien-être. Il me retournait… Essayait de nouvelles positions, tout en me regardant. Jusqu’à ce que sa semence s’écoula en moi. Le liquide coulait le long de mes cuisses, se déposant peu à peu sur les draps, maintenant souillés par notre nuit d’Amour.
Zero, où l’histoire d’un Humain amoureux de l’impossible.